Abousoufiane Elkabouss
Safi s’est réveillée sous le choc après des inondations meurtrières ayant coûté la vie à trente-sept personnes. Un drame qui ne peut être réduit à une simple catastrophe naturelle, tant l’absence de réactivité des secours et la négligence des autorités interrogent
Ces victimes ne sont pas de simples chiffres. Elles sont mortes faute de prévention, de préparation et d’intervention rapide. Là où les plans d’urgence auraient dû être activés, le silence et le retard ont dominé, transformant la pluie en sentence fatale
Safi ne demande ni compassion de façade ni discours creux, mais des comptes clairs et des responsabilités établies. Car lorsque les secours tardent et que l’État échoue à protéger, il ne s’agit plus d’un accident, mais d’un échec grave aux conséquences humaines irréversibles






















































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