Abousoufiane Elkabouss
La tempête Jana a frappé plusieurs régions du Maroc avec une intensité inhabituelle, révélant une nouvelle fois la vulnérabilité du pays face aux changements climatiques. Des pluies torrentielles, des vents violents et des inondations soudaines ont causé d’importants dégâts matériels et humains, plongeant des milliers d’habitants dans une situation de détresse
Dans les zones les plus touchées, notamment certaines régions du sud et du centre du pays, des villages entiers se sont retrouvés isolés, des routes coupées et des habitations détruites. Les agriculteurs, déjà fragilisés par des périodes de sécheresse prolongées, voient leurs récoltes anéanties par les intempéries, aggravant leur précarité
Face à cette catastrophe, les autorités et les organisations humanitaires se mobilisent pour venir en aide aux sinistrés, mais les besoins restent immenses. Cette situation met en lumière l’urgence d’une adaptation aux dérèglements climatiques et la nécessité d’investir davantage dans des infrastructures résilientes pour protéger les populations les plus exposées
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